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Plus de 70% des cultivateurs en grands cultures et d’éleveurs laitiers ont peur que leur tracteur ne soit volé ou vandalisé.

Plus de 70% des cultivateurs en grands cultures et des éleveurs laitiers néerlandais pense que le vol de leur tracteur ou de ses outils, ou le vandalisme de ceux-ci, est un risque réel. C’est ce qu’une recherche de la marque de tracteurs Fendt, effectuée dans les Pays-Bas dans le cadre de la ‘Semaine de la Sécurité’ a révélé. Malgré cette crainte, les agriculteurs adoptent très peu de mesures pour limiter le risque: Trois quarts des agriculteurs se contente de fermer le tracteur et la grange à clé. Chez les éleveurs laitiers, il s’agit de 50%. 8% des personnes interrogées a indiqué avoir un chien de garde à la ferme.

30% des cultivateurs de grands champs a eu à faire avec des vols ou du vandalisme, contre 7% des éleveurs laitiers. Les éleveurs laitiers en souffrent donc moins souvent et ont une attitude différente face au problème. Le nombre d’assurés confirme ces impressions. Les cultivateurs de grands champs ont plus souvent une assurance (64%), bien que la différence avec les éleveurs laitiers (57% d’assurés) n’est pas énorme. Il est également notable que les assurés prennent généralement plus de mesures contre le vol ou le vandalisme que les personnes sans assurance.

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“De plus en plus souvent, on se pose la question si les mesures prises par la plupart des agriculteurs afin d’empêcher le vol et le vandalisme sont suffisantes”, explique Stans van de Wetering, Directeur Fendt chez Mechan Groep. “Il y a une grande offre de caméras, de systèmes d’alarme et de traqueurs GPS pour sécuriser le matériel, mais ces mesures ne sont pas encore adoptées à grande échelle. Cela m’étonne parce qu’il s’agit de matériel d’entreprise de grande valeur et essentiel pour le fonctionnement quotidien qu’il semble important de préserver.”

La recherche a également révélé que les agriculteurs s’unissent de plus en plus dans la lutte contre le vol et le vandalisme. Pas moins d’un tiers des cultivateurs de grands champs et d’éleveurs laitiers sont membres d’une application du style WhatsApp et travaillent ensemble pour établir un contrôle social dans leur région.